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Par Catherine FEMENIA

La génération spontanée de coachs et d’offres de coaching, malgré les efforts soutenus en termes de certifications et de labellisations multiples, peuvent donner le sentiment d’avoir à faire à un monde où les actes sont réglés et reposent sur des processus où le succès est nécessairement au rendez-vous.

Un peu d’humilité renvoie à une autre réalité, celle où tout individu dans un système dépend du système qui lui-même dépend de lui… Aussi, vouloir isoler les missions de coaching d’un travail conjoint sur l’organisation nous parait extrêmement limitant, voire être un pur contresens !

La pratique développée par ASK Partners en la matière repose avant tout sur une compréhension du fonctionnement des valeurs et des exigences de l’écosystème, ce qui permettra de resituer les actions d’accompagnement en fonction des objectifs de la – ou des – personne(s) à accompagner.

Est alors posée la question de la justesse de l’organisation en place et de sa cohérence avec les objectifs fixés à la personne accompagnée.

Faut-il coacher la personne comme objet de toutes les attentions ? Ou bien seulement l’organisation ? Ou encore les deux, dans leur plasticité réciproque ?

Vous l’aurez compris, la pratique d’ASK Partners tend vers la dernière formule. En effet, comment imaginer la transformation d’une personne dans un espace qui la contraint au point d’inhiber toute velléité de changement ?

La règle claire est donc bien de s’assurer de cette double cohérence tout au long de nos missions : d’un côté l’individu qui aspire à transformer ses pratiques pour trouver de nouveaux repères, et d’un autre ce que l’organisation est prête à lui donner en termes d’opportunité, d’espace et de souplesse.

On peut alors se demander : faut-il écouter la voiX des sirènes marketing colorées des « officines » de coaching ? Ou bien chercher les voiEs à défricher en s’avançant avec un conseil externe dans les chemins possibles d’une organisation à transformer elle-même ?…

Catherine FEMENIA : catherine.femenia@ask-partners.com / 06 86 90 32 21

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… ses concurrents potentiels !

Par Patrick SERRE

Nos formations et notre éducation nous ont le plus souvent appris à « battre » nos concurrents, à les dépasser et à toujours s’en méfier.

Ce modèle mental – bien qu’il ait des vertus stimulantes et prudentielles – conduit régulièrement à laisser la place à des profils auxquels nous ne sommes pas préparés à être vigilants.

Parmi les hypothèses de profils on peut notamment citer :

• le « modeste-suiveur » qui finit par bénéficier de la guerre des plus audacieux et s’installe en « rassembleur-rassurant » ;
• « l’esprit agile » – jusque-là absent du débat – qui a su observer le terrain de jeu et entend bien profiter des espaces libres et de la concurrence entre « leaders » pour ouvrir de nouvelles voies…

Ce principe – bien connu du monde politique – a détruit de nombreuses organisations, à force de les enfermer dans des modèles défensifs qui les ont rigidifiées et inévitablement rendues inaptes à la nécessaire adaptation à leur environnement.

Cette question stratégique est aujourd’hui posée par de grands groupes. Citons l’assureur AXA qui, plutôt que de seulement se « battre » face à d’autres compagnies d’assurance sur des produits et services similaires, regarde autour de lui et va à la rencontre de nouveaux entrants tel que les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon). Ces derniers, avec leurs capacités à cerner les profils et à gérer des données, avanceront inévitablement sur des offres d’assurance… Mais peut être iront-ils plus vite et plus loin avec un acteur historique du MÉTIER ASSUREUR qui lui-même s’ouvre à leurs pratiques et outils ?

Cet exemple, qui concerne beaucoup d’autres secteurs (les banques, le tourisme, etc.), s’applique à des modèles de taille plus modeste et devrait inspirer nos raisonnements lors de fusions d’entreprises, de mutualisations de collectivités et même de transformations d’organigrammes.

Oser prendre ce risque, c’est oser accepter que nous puissions partager, converser avec des structures et des personnes qui jusque-là n’apparaissaient dans nos « radars » que comme une menace.

Les aborder non comme un « prédateur » (sous réserve d’en avoir les moyens !), mais plutôt comme un allié constituerait certainement une opportunité d’ouvrir un projet collaboratif partagé. S’il est bien conduit – dans le respect des valeurs et des fondamentaux de chacun -, il sera nourri des différences et des richesses mutuelles et transformera des énergies d’opposition ou de défense en énergies d’innovation et de création de valeurs.

Telle est notre vision traduite dans notre base-line «  Les plus belles conquêtes se réalisent dans le partage ».

Contact : patrick.serre@ask-partners.com / 06 80 11 08 62

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Par Catherine FEMENIA & Patrick SERRE

La période des souhaits et des bons vœux approche, quelle belle opportunité pour dessiner sur une page blanche l’organisation parfaite ! Celle qui fera de 2017 une année répondant à toutes les aspirations : efficacité, performance, croissance… et pourquoi pas bonheur !

Les vertus du syndrome « on remet tout à plat » ou « on repart d’une feuille blanche » ont du mal à apporter des solutions pérennes si elles ne constituent que la simple réaction à un état de dysfonctionnements lentement et sûrement installés, voire sédimentés. La véritable question qui se pose alors est plutôt de savoir pour quelles raisons et pour quelles finalités les différents métiers ou services coopèrent entre eux au sein d’une organisation, et quels résultats sont attendus.

La rigidité des organigrammes a longtemps rassuré les esprits cartésiens, tout en enfermant les logiques créatives et les approches orientées service. Les organisations liquides et la recomposition continue des ressources face à un besoin exigent des remises en question permanentes parfois déstabilisantes pour les équipes.

Dans cet environnement, les titres et la dénomination des fonctions deviennent trop souvent des cache-misères cramponnés sur le « sapin » des rôles et responsabilités ; le Sens de la mission, la cohérence et l’articulation entre les acteurs se cachant alors derrière la couleur des Power Point…  Non, l’organisation parfaite n’existe pas ; il faut l’inventer et la faire vivre chaque jour !

Et pour cela…

• oser se dire qu’une organisation n’est qu’un moyen au service de l’idée fondatrice
• oser remettre en question ce moyen face à un monde qui bouge et à des attentes qui évoluent
• et surtout oser rendre mobile les compétences bien vivantes pour les rendre plus opérantes, plus performantes et sûrement plus  heureuses…

Voici le vœu formulé de la part des consultants ASK pour votre organisation en 2017, en souhaitant à chacun du plaisir et de la joie dans cette démarche.

Catherine FEMENIA : catherine.femenia@ask-partners.com / 06 86 90 32 21

Patrick SERRE : patrick.serre@ask-partners.com / 06 80 11 08 62

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Par Sylvie DEYON & Marie-Hélène RIGAL

Dans notre monde complexe, incertain et volatile, stratégies et priorités évoluent de plus en plus rapidement et entrainent les organisations – et par la même leurs projets – dans cette frénésie du changement.

Derrière ces cycles de changements très courts s’opèrent pourtant de véritables transformations qui intègrent des dimensions humaines et culturelles, et dont les temps de réalisation sont nettement plus longs.

Aussi, face à ce contexte d’interactions complexes, comment combiner visibilité à moyen terme d’un cap (parfois) incertain et réactivité – essentielle à la mise en œuvre des projets – sur des durées très souvent réduites ?

On peut également se demander si les méthodes dites « traditionnelles » pour la mise en œuvre de projets sont encore appropriées…

Pour tenter de répondre à ces questionnements, prenons l’exemple d’un regroupement d’entités aux identités, valeurs et ADN différents.

À travers une nouvelle vision cible et un nouveau projet d’entreprise vont être définis une ambition et des objectifs stratégiques. Ceux-ci seront déclinés puis partagés par toutes les parties prenantes. Le cap à atteindre à moyen terme sera fixé, ainsi qu’une trajectoire pour y parvenir – construite autour de projets multiples alignés sur les grands objectifs.

Le cap va probablement perdurer, même si l’on constate de plus en plus souvent qu’il pourra aussi évoluer pour s’adapter à un écosystème changeant. La trajectoire a de son côté une probabilité plus forte de varier dans le temps… avec le risque de s’éloigner plus ou moins du cap !

Tout l’art revient alors à conjuguer une structuration organisée et planifiée – nécessaire pour garder le cap, embarquer les parties prenantes, donner du sens et une dynamique à la démarche – et la mise en œuvre d’itérations souvent moins linéaires (en utilisant par exemple des approches dites de “quick and dirty”).

Notre expérience au sein d’ASK Partners nous amène à constater que plus les chantiers/projets sont longs, stratégiques et transformationnels, plus cette dimension « d’agilité de l’approche » est essentielle. Il s’agit donc de trouver le bon dosage pour arriver à embarquer le plus grand nombre dans la durée via un mode participatif, collaboratif et souple. Cela permet de séquencer et de décomposer le livrable final en autant d’éléments tangibles, validés au fur et à mesure. Cela permet aussi de s’assurer que la réalisation du projet est toujours alignée avec l’ambition poursuivie, ce qui nécessite une capacité à ajuster en temps réel.

L’implication des acteurs et la façon dont ils peuvent contribuer constituent de réels facteurs clés dans leur motivation et leur engagement sur une durée finalement longue, dans un monde où le changement est devenu permanent…

Réinventer des stratégies de succès au long court reste donc indispensable, l’impératif de résultats concrets à court terme ne devant pas faire oublier la nécessité de s’inscrire dans un temps de transformation long.

Pour partager notre expérience, voici quelques principes clés qui, lorsqu’ils sont mis en œuvre, favorisent le succès des projets de transformation :

1. Disposer d’un socle solide sur lequel construire, tout en sachant que la seule extrapolation des expériences passées ne suffit pas. Ce socle se constitue des connaissances et expériences vécues issues de l’entité, ainsi que de multiples éléments venant d’ailleurs. Les associations entre ces nombreux et divers espaces de savoirs et de savoir-faire vont concourir à créer du neuf, au travers de temps favorisant et facilitant les interactions.

2. Les projets étant de plus en plus ouverts, intégrer des parties prenantes multiples le plus tôt possible va permettre d’imaginer puis de réaliser un éventail de possibles plus rapidement.

3. Accepter de « faire en marchant » et se donner le droit à l’erreur ! Apprendre en faisant et tester différents scénarii avec les parties prenantes permettra en effet de s’ajuster en permanence. Tout ne peut pas s’anticiper et les nouveautés surgissent souvent d’usages inattendus…

4. Capitaliser sur toute nouvelle information obtenue et validée, en l’intégrant au fur et à mesure dans le projet.

5. Insérer des boucles d’itération dans le processus global du projet qui va s’avérer long.

6. Enfin, rester convaincus que la manière dont on organise le projet, dont on jalonne la trajectoire, dont on met en avant les réalisations concrètes est aussi important que le résultat. La préfiguration de la transformation est en effet l’une des conditions clés pour atteindre le cap !

ASK Partners vous propose de vous accompagner dans vos changements et dans votre réussite ; plus d’informations sur ask-partners.com.

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Par Catherine FEMENIA

À l’instar du climat médiatique, les mutations incessantes que connaissent les organisations n’inspirent qu’inquiétude et crainte au plus grand nombre, et peuvent alors dicter des comportements de repli et d’attentisme.

Aussi, chacun a bien du mal à imaginer que ses compétences deviennent inutiles au cœur même de son organisation, que son courage et son implication ne représentent plus d’intérêt et qu’au final il pourrait ne plus avoir son job.

C’est bien là le paradoxe de toute période de crise : se focaliser sur les dangers éventuels plutôt que de voir les formidables espaces qui ne demandent qu’à être investis pour dessiner son propre futur.

Les plus belles réussites – à commencer par celles des grandes femmes et des grands hommes – ne sont-elles pas souvent le fruit d’une forme de traumatisme traversé et surmonté ?

Quels espaces de libertés nous autorisons-nous pour demain, pour notre job, pour notre famille, pour nos passions ? S’offrir tout à la fois le questionnement sur la capacité de choisir et la détermination de faire est une véritable richesse qui contient plus de puissance que tous les commentaires déprimants.

Notre conviction au sein d’ASK Partners est que nous vivons une formidable occasion : celle de remettre en cause des modèles et des pratiques aujourd’hui usés au profit d’une capacité à oser.

Que chacun se mette en mode « j’ose, je partage, je décide chaque jour ! », et de véritables opportunités s’ouvriront.

Pour plus d’informations : catherine.femenia@ask-partners.com / 06 86 90 32 21

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Par Marie-Hélène RIGAL & Catherine FEMENIA

Qu’elles soient informelles – autour d’un café par exemple – ou formelles lors des entretiens périodiques d’évaluation ou de mi carrière, les situations d’entretiens font partie du quotidien professionnel.

Parmi elles, l’entretien annuel d’évaluation est un rendez-vous incontournable entre un manager et son collaborateur pour évaluer la performance de ses réalisations (actions menées, mais aussi au sens du dépassement de soi) au regard des objectifs posés. Chaque manager doit ainsi évaluer les membres de son équipe et chaque salarié est engagé à améliorer ses performances.

Au cours de nos différentes missions au sein d’ASK Partners, nous observons l’effort engagé par les organisations pour formaliser et harmoniser ces processus d’entretiens annuels. Aujourd’hui, les managers disposent de pléthore d’outils (référentiel de compétences, guides, supports, tableaux de bord, grille de notation en lien avec l’entretien, etc.) pour accompagner et rendre compte de la contribution, voire du coût de chacun. Incontestablement, l’entretien annuel est positionné comme un véritable outil de dialogue social, de sécurisation, de développement des parcours professionnels et de démarche qualité.

Cependant face à l’accélération des transformations, aux bouleversements technologiques, au recours de plus en plus fréquent au mode projet, à la nécessité de constamment re-prioriser les objectifs, cela conduit à reposer le sens et l’adéquation des dispositifs d’entretiens annuels d’évaluation.

Sont-ils réellement adaptés aux rythmes et modes de fonctionnement nouveaux de nos organisations ?

Tandis que les cycles dans les entreprises sont de plus en plus courts, ces rendez-vous annuels sont-ils positionnés au bon moment et à la bonne fréquence ?

Le temps et l’énergie qui y sont consacrés sont-ils effectivement créateurs de valeurs ?

Répondent-ils aux besoins des collaborateurs et des organisations ?

De quels leviers l’organisation dispose-t-elle pour améliorer la perception des pratiques d’évaluation encore trop souvent critiquées comme étant source de stress ou arbitraire ?

Comment une pratique d’évaluation individualisée peut-elle renforcer la performance collective ?

Autant de questions que se sont déjà posées nombre de grands groupes (citons GENERAL ELECTRIC, ACCENTURE, NETFLIX, etc.), certains ayant pour y répondre abandonné l’évaluation annuelle, en privilégiant un dispositif d’évaluation de la performance en continu, plus agile.

À l’image de la citation en 1948 d’Antoine de Saint-Exupéry « Je vous le dis : vous n’avez le droit d’éviter un effort qu’au nom d’un autre effort, car vous devez grandir », notre conviction chez ASK Partners est la suivante : piloter la performance en temps réel et développer les compétences des collaborateurs en continu est et restera un enjeu crucial pour l’avenir.

Toutes ces questions méritent des réponses sur lesquelles nous vous proposons de vous accompagner.

Pour en savoir plus, contactez Marie-Hélène RIGAL : +33 (0)6 67 18 71 81 / mh.rigal@ask-partners.com ou Catherine FEMENIA : + 33 (0) 6 86 90 32 21 / catherine.femenia@ask-partners.com

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Par Patrick SERRE

Le gisement prodigieux de données que produisent nos organisations est à l’état de l’âge de pierre en ce qui concerne leurs identifications, leurs sélections et in fine leur valorisation.

Empiler des séries de données et organiser des assemblages parfois ubuesques dans des tableaux XL « croisés/dynamiques » relève d’une figure particulière du domaine de l’art qui semble inspirer quelques talentueux jongleurs de colonnes chiffrées, sans pour autant rassurer ou renseigner utilement les décideurs pragmatiques.

Le regard dubitatif d’un dirigeant face à une « œuvre » produite par un nouveau contrôleur de gestion, assorti du commentaire « au doigt mouillé, il y a longtemps que j’avais compris d’où venait le vent… » m’a confirmé depuis longtemps la nécessité d’effectuer un travail en amont sur les données, afin de considérer leur usage futur.

Tout cela revient concrètement à se poser la question du pilotage que l’on souhaite mettre en œuvre, et surtout du gisement de données dont on dispose pour que ces dernières éclairent de manière enrichie les choix à effectuer.

La démarche revient à jouer aux explorateurs en cartographiant les poches de données disponibles ou accessibles, puis à imaginer la valeur qu’elles recèlent afin de les transformer en un matériau qui rendra intelligible et pertinent la formulation de toute nouvelle décision ou orientation.

Il s’agit donc bien de passer d’un art brut de « l’empilage » et de la « sophistication attractive » de matériaux à la création d’un design plus épuré et plus exigeant quant à l’origine et à la qualité des données recueillies. Il en est de même concernant leurs exploitations, l’objectif étant de disposer des paramètres les plus décisifs dans le pilotage des orientations stratégiques et leurs adaptations conjoncturelles.

Cette approche vaut tant pour les stratégies business et la relation client que pour le pilotage des plans de mandat dans les collectivités et la réévaluation régulière des niveaux de service à apporter aux usagers.

ASK Partners a imaginé et développé une plateforme citoyenne de collecte de données pour les collectivités ! Et de la même manière sur des modèles et designs de données, notamment dans la relation client pour les entreprises.

Pour en savoir plus : patrick.serre@ask-partners.com / 06 80 11 08 62 ou catherine.femenia@ask-partners.com / 06 86 90 32 21.

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Par Patrick SERRE

À l’heure où chacun met en avant les bénéfices d’une bonne gouvernance, d’une affirmation des atouts de la bienveillance, et in fine de la pleine conscience de toutes les parties prenantes dans un mode collaboratif, la question qui se pose est bien celle du lien entre les acteurs au sein des organisations ; je veux ici parler des ALLIANCES.

Si le vocable a souvent été usité dans des contextes militaire et guerrier (ou économique), il est aussi – et avant tout – celui de la vie quotidienne, du registre de la famille, de la confiance, des valeurs et des ambitions partagées.

C’est ce dernier angle qui retient notre intérêt, et en particulier : comment nourrir et pérenniser des alliances dans les groupes projets ou dans les mutualisations, alors même que ces épisodes d’organisation sont trop souvent pilotés en mode guerrier (d’attaque ou de défense) ?

Notre conviction est que seule une vraie construction d’un écosystème, fort d’alliances multiples reposant effectivement sur le respect, la confiance et la bienveillance, font émerger les environnements propices à la transformation, à l’innovation et au succès.

Pour plus d’informations, contactez Patrick Serre : patrick.serre@ask-partners.com / +33 (0)6 80 11 08 62

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Par Catherine FEMENIA

Et la rentrée nous rappelle qu’il en est bien autrement dans notre environnement professionnel ! Nous avons tous retrouvé nos « to do lists » et elles s’enrichissent au fur et à mesure des semaines, des journées… voire même des heures !

Courir après des échéances de plus en plus serrées, composer avec des imprévus : telle est notre réalité quotidienne et nous devons faire avec.

Pour autant, pouvons-nous organiser notre temps indépendamment de notre environnement ? Pouvons-nous garder une forme de contrôle de notre temps ?

Si concrètement, nous ne pourrons jamais « gagner du temps », nous pouvons au moins éviter d’en perdre ! Comme l’écrivait déjà Honoré de Balzac : « le temps est le seul capital des gens qui n’ont que leur intelligence pour fortune“. Cette citation se vérifie toujours, le capital humain est bien notre propre gisement de leviers pour garder le contrôle de notre temps.

Si vous souhaitez vous aussi disposer d’outils et d’astuces pour maîtriser l’art de votre gestion du temps, participez à notre journée d’études « SUBIR OU S’AFFIRMER FACE À SES PRIORITÉS » qui aura lieu le 7 octobre prochain à Annecy ; il reste encore quelques places !

Pour recevoir le programme,  contactez Catherine FEMENIA au 06 86 90 32 21 ou par mail : catherine.femenia@ask-partners.com. Et partagez cette information dans votre entreprise !

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